La commémoration de la sanglante répression du printemps noire a été éclaboussée par la violente répression des manifestants qui ont souhaité rendre hommage à Guermah Massinissa et aux 128 autres jeunes Kabyles assassinés par des gendarmes en 2001.
Pas moins de 22 personnes ont été arrêtées mercredi 20 avril lors de la tentative de commémoration du 20 avril à l’Université Mouloud Mammeri de Hasnaoua, rapporte le Comité national pour la libération des détenus d’opinion.
Maintenues en garde à vue durant la nuit du 20 avril au commissariat central, 13 personnes sont passées en comparution immédiate ce jeudi matin. Onze personnes ont été remises en liberté et deux, Belaïd Abrika et Aziz Mouzaoui, sont placés sous contrôle judiciaire, révèle le CNLD.
Neuf autres manifestants pacifiques ont été dirigées vers le pôle pénal spécialisé à Alger (tribunal de Sidi M’hamed) en attendant leur présentation devant le procureur, ajoute la même source.
Tahar Achiche est parmi les neuf personnes transférées à Alger.
Contrairement aux années précédentes où les manifestations de célébrations du printemps berbère et de commémoration du printemps noir se faisaient dans la communion, la sérénité et sans intervention policière, cette année, le régime a réagi brutalement contre les manifestants. C’est somme toute dans l’ordre arbitraire des hommes qui tiennent le pouvoir actuellement. Ils ne souffrent aucune contestation, aussi pacifique puisse-t-elle être.
Sofiane Ayache
Alla al Hoss , chfayat temzi. Je viens de demander ith djadarmith enni qui n’est pas de mon village mais de ma région kamim ( du coté de Chabet) si elle conaissait le mot oult elle m’a dit non , mais quand je lui ai dit : fatima oult nvi , elle m’a dit si si , elle s’est rappelé elle aussi . Mais elle pensait comme moua que c’était une déformation de bent. Mais chinou à iflicène umeli nous avons beaucoup de mot qui ressemblent à ceux des mozabites et des touareg. Alors ….. ?